Quand Monki fait du Elise Chalmin..
4 commentaires
Bonjour,
Je partage totalement votre opinion et suis moi-meme indignee par la copie qui est la marque de fabrique des enseignes de fast fashions. Cependant, la realite aujourd’hui, c’est que bons nombres de createurs ont un prix de vente par article qui n’est pas abordable pour la majeure partie de la population. Encore, votre marque est parmi les plus raisonnable en prix. Pour reprendre l’exemple du tee shirt Lolita, vendu 50 euros, soit plus de deux fois plus qu’un tee shirt Levis en coton et imprime ? Je comprends que, certaines clientes avec de plus petits moyens soient tentees d’acheter le Monki (actuellement toujours en vente a Londres ou je vis pour la somme de 8 livres, en 100% coton).
Je ne connais pas les strategies de pricing, mais la realite est que la voie juridique doit prevaloir pour vous proteger, autrement le systeme actuel continuera malheureusement de beneficier aux grands de l’industrie …
Tous mes voeux de reussite, je me commande un Lolita au passage,
Lily
j’adore votre travail et votre tenace. Les copieurs d’idées sont toujours derrière la rue. Mais quand nous voulons le meilleur nous le cherchons chez les meilleurs. bon courage! Et Bravo
Et bien voilà je viens de discuter avec vous d’une autre marque qui reproduit votre création je partage avec mes abonnés pour moi c’est de la contrefaçon étant en couple avec un juge dont la mission et de lutter contre la mafia de la contrefaçon je suis dégoûtée car la contrefaçon devient un fléau savez-vous que même les médicaments sont contrefaits il existe du matériel employés pour dilater une artère du cœur qui est sur le marché mais contrefaite certains diront mais enfin c’est un teeshirt et bien non ç’est comme ça que ça commence , aujourd’hui le rôle des infirmières en bloc opératoire c’est de contrôler à deux les numéros de séries avant d’implanter du matériel chez les patients si c’est pas fait c’est une faute professionnels grave
Voilà je m’arrête car oui la contrefaçon c’est un système mafieux
Bien à vous Élise
Un seul mot : écoeurant !